Vus que notre Power Meter HP438A se lit bien avec l’adaptateur USB/GPIB et le logiciel « Connection Expert ». On va faire l’essai avec Visual Studion et le langage VB.NET.

Mon seul regret c’est que le Basic n’est plus du basic et que on est obligé de déclarer des sessions puis de les ouvrir comme de la programmation objet avec les classes…. Comme du C++ ou du C#. C’est finis le temps du basic avec print »TOTO ».

Bon comme du C# ou du C++ (encore plus chiant le C++ autant faire du C#). Sauf, si on veut être indépandant de Microsoft.

Là encore plus imple que le C# on a juste à rajouter dans le gestionnaire de référence, puis dans COM le VISA COM 5.8 Type Library

Le code:

Module Module1

Sub Main()

Dim ioMgr As Ivi.Visa.Interop.ResourceManager
Dim instrument As Ivi.Visa.Interop.FormattedIO488
Dim strQueryresult As String

ioMgr = New Ivi.Visa.Interop.ResourceManager
instrument = New Ivi.Visa.Interop.FormattedIO488

instrument.IO = ioMgr.Open(« GPIB0::13 ») ‘ use instrument specific address for Open() parameter – i.e. GPIB0::13
instrument.WriteString(« *IDN? »)

strQueryresult = instrument.ReadString()
MsgBox(strQueryresult)

End Sub

End Module

Le résultat:

on a un petit Message Box qui se superpose à la console et qui affiche la valeur CAD:

-29.800E+00 et si on clique sur le OK on sort.

Tout le monde aura compris que ce chiffre indique -30dBm.

Bon là on est dans un autre monde, celui de la programmation objet. C’est pas simple du tout. Comme dans Code:Block il faut mettre la référence qui va bien pour que le linker et compilateur retrouvent les liens avec ce que on va lui demander.

Après ouverture d’un projet en mode console (plus simple au départ) on ajoute au projet une référence. Comme VISA et IVI on déjà préparé le taff il sufit deans projet de « ajouter une référence, on va donc dans le gestionnaire de référence puis dans Assemblys puis dans Extension de cocher Keysight.Visa. Toujours dans le Gestionnaire de références puis dans COM de cocher VISA COM 5.9 Type Librairy.

Après écrire le code suivant:

using System;
using System.Collections.Generic;
using System.Linq;
using System.Text;
using System.Threading.Tasks;
using Ivi.Visa;
using Ivi.Visa.Interop;

namespace ConsoleApplication28
{
class Program
{
static void Main(string[] args)
{
ResourceManager
rm = new Ivi.Visa.Interop.ResourceManager();
FormattedIO488
my438A = new Ivi.Visa.Interop.FormattedIO488();

string DutAddr = « GPIB0::13::INSTR »;
my438A.IO = (IMessage)rm.Open(DutAddr, AccessMode.NO_LOCK, 2000, «  »);

my438A.WriteString(« *IDN? »);
string IDN = my438A.ReadString();

Console.WriteLine(IDN);
Console.ReadLine();

return;
}
}
}

Le résultat:

-29.810E+00

J’utilise la version 16.01 de Code:Block. Cet exemple affiche le résultat en mode console. J’ai rajouté le changement de correction de la sonde. Il faut bien sur dans le menu Built option du projet rajouter les liens qui vont bien. A savoir,

Search directories puis dans compiler lui donner le include qui se trouve dans le répertoire Program Files(x86)\IviFoundation\Visa\WinNT\agvisa\Include puis toujours dans Search directorie puis dans Linker lui donner le bin qui va bien , à savoir Program Files(x86)\IviFoundation\VISA\WinNT\lib\msc.

Toujours dans le Build option selectionner le Linker settings et ajouter : Program Files(x86)\IviFoundation\Visa\WinNT\lib\mszc\agvisa32.dll.

Voilà c’est le plus compliqué. Je conseille une fois que c’est ok (selectionner ces liens non par pour le debug ou realise mais pour le projet complet. Ainsi , le exe généré à la compilation ne posera pas de problème. De même se servir de cet exemple en tant que template pout démarrer tout autre projet ainsi les liens ne seront plus à créer.

#include <stdio.h>
#include <stdlib.h>
#include <visa.h>
#include <windows.h>

int main()
{
ViSession defaultRM, vi;
char buf[256] = { 0 };

viOpenDefaultRM(&defaultRM);
viOpen(defaultRM, « GPIB0::13::INSTR », VI_NULL, VI_NULL, &vi);

viPrintf(vi, « *RST\n »);
viPrintf(vi, « *IDN?\n »);
viScanf(vi, « %t », &buf);

printf(« HP 438A POWER LETER valeur niveau en dbm »);

viPrintf(vi, « KB 95 EN\n »);
printf(buf);
Sleep(1000);

viPrintf(vi, « KB 100 EN\n »);
printf(buf);
Sleep(1000);

viPrintf(vi, « KB 95 EN\n »);
printf(buf);

viClose(vi);
viClose(defaultRM);
printf(buf);
system(« PAUSE »);

return 0;
}

Le résultat dans la console:

HP 438A POWER LETER valeur niveau en dbm-29.810E+00
-29.810E+00
-29.810E+00
-29.810E+00
Appuyez sur une touche pour continuer…

On suppose que l’interface HP82357B fonctionne avec « Connection Expert » fournis avec la « IO Suite ». Je vais pour ces exemples rester sur le « power meter 438A ». Je vais aussi montrer comment afficher à l’écran la visu d’un VNA HP 8719C.

Le code est le plus simple qui existe. Rien à faire… Avec l’éditeur de Matlab écrire:

g=gpib(‘agilent’,7,13);  « on définis un objet g, puis on appelle la fonction GPIB avec en premier paramètre le fabricant, en deuxième l’adresse de la carte de commande 7, puis l’adresse de l’appareil 13 »
fopen(g); « on ouvre le port »
fprintf(g,’AP,LG,OC1,’) « on écrit sur le port g la syntaxe du sensor A (AP) puis la syntaxe du mode Dbm log (LG) puis la syntaxe du  de mise en route de l’oscillateur de ref pour brancher la sonde dessus et vérifier que tout va bien (OC1). On aurait pu rajouter le zéro et le cal factor…. »
out1 = fscanf(g) « on définit une variable qui lit ce qui revient sur le port et qui donne le résultat à l’écran. »
fclose(g) « on ferme le port.

sur la fenêtre de commande Window de Matlab on a:

>> test438

out1 =

‘-30.050E+00
C’est ultra simple.

De même avec un 8719C on peut avoir une récupération de une amplitude, phase et fréquence:

vna=gpib(‘agilent’,7,16);
fopen(vna);
fwrite(vna, ‘CWFREQ;10.368 GHZ’);
fwrite(vna, ‘CHAN1;S21;LOGM’);
fwrite(vna, ‘MARK1;10.368 GHZ’);

fwrite(vna, ‘OUTPMARK’);
data = fscanf(vna)

fclose(vna);
delete(vna);
clear vna

le résultat:

>> test8719C_a

data =

‘ -7.270292E+01, 9.543417E+14, 1.036800000E-08

on a bien la phase, l’amplitude et la fréquence

Idem, on part du principe que l’interface USB/GPIB HP82357B est ok, donc visa est installé !!!!

J’utilise la version WinPython-64bit-3.4.4.1 qui a un (Spyder) éditeur assez génial. Là on se rapproche plus du lange C avec des import… Le code là aussi est très simple.

import visa
import os
import time;

hp438a = visa.instrument(« GPIB::13 »)
print (hp438a.ask(« *IDN? »))
print (hp438a.read())

Le résultat dans la console python:

-29.820E+00

L’interface GPIB

Avant tout HP étant l’inventeur du HPIB devenus GPIB, j’utilise un adaptateur USB-GPIB type 82357B. Il existe chez d’autres fournisseurs des adaptateurs de ce type mais je ne les ai jamais utilisé.

Une fois l’adaptateur en main il faut en premier télécharger du site KEYSIGHT la suite I/O Librairie Suite. L’installation de celle ci est très facile de win7 à w10. L’installation permet déjà d’utiliser un utilitaire « Connection Expert » permettant de voir sur votre PC ce qui y est connecté (GPIB, RS232, …..) donc déjà là si le logiciel ne voit pas l’appareil, ce n’est pas la peine de continuer. Si l’installation a été faite correctement la led verte « READY »du 82357B doit être allumée, la led rouge « FAIL »juste à côté éteinte et la led verte « ACCESS » clignoter quand on dialogue avec un équipement.

La suite IO Librairie permet d’installer « VISA » et les driver » IVI ». Je laisse le soin de regarder dans la documentation founie avec cette outil. En fait, on a deux possibilités quand on veut écrire du code. Soit on travaille à bas niveau et on utilise les commandes SCPI pour l’appareil concerné (donc envoyé IDN pour connaitre l’état, TRx pour un trigger), code par forcement identique pour chaque appareil. Soit on travail avec des drivers (voir documentation de la norme VISA et IVI) qui eux permettent directement avec la norme IVI/VISA Foundation d’utiliser le même code quelque soit le fournisseur. Cette deuxième solution valable pour les appareils récents (donc chers) ne fonctionne pas avec des équipements plus anciens. C’est pratique pourtant, un multimètre Fluke, HP ou racal utilisera le même code pour mesurer une tension(voltage, DC). De plus le code est déjà optimisé pour les conflits, la vitesse etc….

J’utilise donc le mode SCPI toujours valable avec des annciens ou récents appareils. Comme j’ai un peu souffert pour écrire du code car je ne suis sourtout pas informaticien, j’ai essayé de piloter le même appareil en Python, avec Matlab, en C avec CodeBlock, puis Visual Studion (C# et VB.net).

 

20150208_181611 20150208_181559

Après avoir récupérer un ancien positionneur de mesure d’antenne Scientific Atlanta, je me décides à l’utiliser pour faire de la mesure d’antenne. C’est un AZ/EL.  La partie AZ a été démonté de la partie EL. Il est à démonter, nettoyer et recâbler. Pour le EL, il faut remettre le moteur 110V DC à excitation séparée. J’ai le carter de protection latéral du site qui protège les deux synchros de recopie de site celui qui est 1/1 (1 tour quand le positoneur se déplace de 1 tour) et celui de 36/1 (celui qui fait 36 tours quand le positionneur se déplace de 1 tour. Ce qui est idem dans le positionneur  AZ). Vus que le système d’entrainement des recopie est en double couronne avec rattrapage de jeu, la solution, sera de remplacer directement un des synchros par un codeur ou de trouver des convertisseurs syncros binaire pour se connecter via une carte à un PC. J’ai reçus les deux variateurs 4 cadrans 110V DC 15 A pour piloter ces moteurs. Il me faut faire une alimentation 110V DC pour l’excitation des moteurs (2A) et une 110V DC 10/15A pour l’induit. Bon j’ai démonté l’AZ, Gros nettoyage à faire, re huiler les joint toriques, refaire le câblage et retrouver le boitier synchros 1/1 et 36/1 qui me servira si je ne restes pas en synchros à placer le codeur.

20150210_161159L’axe AZ est démonté, nettoyé maintenant câblage… Je remets le boitier synchros afin de me servir de celui-ci pour fixer le « codeur ».

 

La première chose est de virer l’électronique et l’antenne (inutilisable à nos fréquences OM). Dommage car c’était une belle antenne patch en polar circulaire.

IMG_0867IMG_0877

Vus le couple de l’antenne à mettre (à cause du déport en site de celle-ci) je vais être obligé de virer les petits moteurs pas à pas par des moteur DC Maxon, je testes avec des servos amplificateurs.Là je suis déçus car ces moteurs avec réducteurs n’ont toujours pas assez de couple. donc je les remplaces par des moteurs avec reducteurs ayant plus de couple.

IMG_1106Je mets deux amplificateurs qui vont bien en commande PWM, sens et blocage (juste trois fils).

IMG_1202 - Copie

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces moteurs brushless reliés aux servos ont des codeurs pour faire un asservissement mais vus la régulation de vitesse apportés par les blocs, ils sont pour l’instant non utilisés. Connecteur USB (RS232) pour l’Arduino et alimentation 24V sous l’axe AZ.

 

IMG_1181 - CopieIMG_1180

Les deux variateurs brushless sont reliés via une carte bidouilles (des simples transistor NPN) à une carte Arduino Mega. Avoir ne nombreuses entrées sorties TTL peut être utile suivant le type de codeurs à utiliser. La bride WR90 pour le petite parabole ou l’antenne à fente est installée. Le coaxial de descente passera par le trou central de l’axe AZ bas. Bon faut travailler sur quel type d’interface codeur je vais utilisé. Du codeur j’ai de l’incrémental et de l’absolus.

Matlab pour le moment me pilote le programme de l’arduino qui lui gère les deux amplificateurs Brushless.

 

 

 

 

 

 

Suite à une idée de Chistophe F5HRS, j’ai décidé d’acheter une petite visu pour codeur optique incrémental. Ce petit module acheté moins de 10 euros frais de port compris sur la baie possède 5 digits.

Première étape mise sous tension pas de soucis. Je récupère un codeur optique, un super Codéchamp étanche, blindé… Ce n’est qu’un 500 points par tour. Je voulais faire un multiplicateur 4 quadrant afin de le transformer en 2000 points mais cette visu promet de gérer le multi tour. En effet, on est censé pouvoir faire un RAZ et dire combien on veut afficher pour un nombre d’impulsions donné. Mon codeur étant sous 5 Volts, je décide par sécurité de tout alimenter en 5 V en passant par un buck qui me transformera le 5V en 12V pour l’afficheur. Je branche le codeur, je vérifie au scope que sur VA et VB j’ai bien mes signaux déphasés. Tout est ok. Je raccorde l’afficheur au +12 du buck. Le GND du buck, de l’afficheur, du codeur et de l’alimentation, le + 5V sur le codeur et sur le buck puis le +12V du buck sur l’afficheur. Les sorties VA et VB du codeur sur les entrées INA et INB de l’afficheur et bingo quand je fais un tour j’ai bien 500  sur le compteur. Si je fais deux tours j’ai 1000. Bon c’est bien mais si j’ai 14.42 tours… Dans la foulée, je vérifie que de mettre le fil RST à la masse me met bien le compteur à 0.

Je contacte F6DPH qui me dit que c’était prévu dans le mail de Christophe. M’aurai-ton mentis à l’issus de mon plein gré, j’enquête, regardes sur la baie les produits « concurrents » ils ont des boutons poussoir pour configurer. Philippe me dit as-tu ouvert le boitier, damned je suis doublé!! J’ouvre le boitier et sur l’arrière deux minuscules boutons poussoir… Effectivement un sélectionne le digit à modifier et l’autre incrémente sa valeur. Bon après quelques tâtonnements pour savoir qui fait quoi je transforme mon codeur 500 points pour un tour avec affichage de 500 pour un affichage de 36000 pour 20 tours du codeur.

20150208_15381820150208_153913

On voit bien sur la photo de l’arrière les deux petits boutons poussoir (situés de chaque côté du quartz en bas du print sur la photo)  pour gérer l’affichage. Si on se plante on peut tout remettre à zéros, il suffit une fois qu’on a sélectionné le digit qui ne va pas bien de le mettre à zéro. Le côté sympathique c’est qu’avec un bête laser on peut vérifier la précision aussi bien en AZ qu’EL. Perso j’utilise un laser de niveau, avec une mire (photo suivante) placée à 1o mètres on peut facilement vérifier du 0.01°. La photo n’est pas excellente mais on voit les traits noir verticaux, entre deux traits (avec ma distance) on a 1 degré, entre le trait laser et le trait noir 0.1°, je peux évaluer mieux que 0.03°….

20150208_161229Après enquête, il y a deux types de compteur toujours avec deux boutons poussoir. Dans le premier cas, après avoir sélectionner le bon digit en rentre la valeur de multiplication. On démarre de zéros, on fait 360° du rotor et on lit la valeur (exemple 3600) on voit que l’on a un rapport de 10 donc on rentre cette valeur. Dans l’autre cas on lit la valeur après avoir fait un tour du rotor (exemple 36475) et on rentre 36000. Pour vérifier la précision je monte un laser sur le codeur et place une mire papier. Là le trait laser vertical par rapport au très noir est à 1 cm ce qui me donne 0.1 degré…. pour 1 cm (petit calcul de trigonométrie simple…), ce n’est pas idiot car, quand je tourne le codeur (il est configuration 20 tours pour afficher 360°), il affiche bien 0.1°. Quand de 350.78 à 350.82 j’ai 0.3 mm donc vus la distance et que je suis en 20 tours j’ai bien 0.03°…. Cool. En plus il a bien tenus compte du facteur de multiplication car 20* 500 fait 10000, hors l’affichage passe bien de 3/100 en 3/100…(les puristes diront 3.6/100).

Afficher du 3/100 de degré c’est cool. Quel dommage de ne pas avoir de sortie RS ou PC……

L’ENORME avantage de ce compteur est son prix, sa facilité de mise en place, et SURTOUT si on coupe le courant et que l’on remet sous tension il a gardé la dernière valeur de position. Si on n’a pas tourné le rotor entre temps, on a presque un absolu….

Encore Merci à Christophe de cette EXCELLENTE idée.

Attention il n’accepte pas des codeurs ayant des sorties sinusoïdales…. Il faut du « carré » de 3 Volts à 12 Volts.

Attention: pour la sortie des datas (sauf pour les codeurs à bus de terrain, spi ….) on a VA, VB et certains ont TZ. il y a les sorties TTL, là aucun soucis .

Il y a les sorties « open collector », vus la vitesse de transition des signaux, je déconseilles fortement l’utilisation de transistor pour « transmettre les signaux », il y a des composants spécifiques pour cela…. Les compteurs utilisent les fronts montants (pour certains descendants) pour donner la valeur de l’angle et le SENS.  C’est le déphasage qui est pris en compte etc… Une simple résistance de pull up (mettre une résistance entre la sortie VA et VB et le + 5V (si c’est un codeur 5V) et relier la sortie codeur directement à l’entrée compteur ) suffit sinon comptage bizarre….

Astuce: si on a pas beaucoup de tour et que l’on a un codeur de faible résolution (style codeur monté directement sur l’axe de rotation) il existe des multiplicateurs 4 quadrants ainsi vous transformer votre codeur 600 en codeur 2400 points.

Autre astuce si on a pas besoins d’utiliser la fonction multitour et que votre codeur est installé directement sur l’axe de rotation et qu’il a une sortie TZ, si vous reliez celle ci à l’entrée RAZ, votre compteur repassera obligatoirement à 0° pour le zéro de votre positionneur (si vous avez mis le codeur avec sont TZ à la position 0° de votre positionneur).

Bonne bidouille

Bon après avoir critiqué pendant 40 ans les informaticiens, je m’y mets. Pas le choix aujourd’hui, dans nos bidouilles il faut connaitre du soft. Quelle galère pour moi qui y suis particulièrement réfractaire. Il a fallut que maintenant seulement je fasses la différence entre une variable globale et une variable locale.

Je vais y mettre Arduino, Matlab etc…..

Il faut que je fasses du C pour l’Arduino, du Matlab pour MATLAB ( on dirait du Fortran…) et du script Python. La galère je vous dit, la galère.
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Exemple de réalisation d’une fenêtre graphique en utilisant GUIDE de MATLAB.

 

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Exemple de tracé graphique sous MATLAB, sans l’utilisation de GUIDE, je faits l’acquisition et pilotage du VNA via GPIB avec le logiciel et je trace une fenêtre graphique des données récupérées. Je peux même le compiler et en faire un exécutable indépendant de MATLAB et le faire tourner sous WINDOW…

Bon maintenant, il faut faire une fenêtre de saisie gérant le port COM afin de lire et commande la carte ARDUINO qui elle, pilotera le positionneur Azimuth Elevation (en attendant une carte F1EHN).

Pour le moment je sais récupérer les valeurs de mon affichage de position Azimuth Elevation (celui-ci est au protocole GS232 sandard !!!!!!!!

 

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Pour me changer les idées je suis allé dire bonjour à mes anciens collègues du pro et ils ont développé une application ave une carte toute petite pouvant recevoir (sous Windows ou Linux) tout ce que l’on trouve comme logiciel standard. Ils y ont même installé l’outil de développement complet Visual Studio pour travailler en live sur la carte comme pour un PC normal, sauf, que celle-ci possèdes tous les interfaces possibles (du gpio, rs232, usb, spi, i2c, svga, rj45….). Peut être l’avenir pour pallier au problème de compatibilité des cartes microcontrôleur… Sur ce type de cartes, on peut comme sur un PC basique travailler sur le langage que l’on veut (C, C++, Fortran, Basic, Python, MatLab,Java, Html).

Sans titreTiens dans la foulée je me faits une simulation sur un réseau d’antennes à fentes pour le 10.368 GHz. Bon ok les lobes secondaires sont encore trop haut, j’ai pas dus bien optimiser le couplage de la ligne d’alimentation…. Bon en // il faut que je me fasses un bout de plan pour de l’usinage. Elle ne fait que 30 cm * 30 cm.

 

 

 

 

Bon j’ai avancé sur Arduino, j’ai monté sur celui-ci une carte avec quelques composants pour interfacer deux ampli moteur brushless afin, de piloter un positionneur EL/AZ pour les futures antennes light à fente de petites dimensions. Il me reste à y installer les codeurs optiques. Mais déjà avec Matlab j’ai la vitesse variable et le sens sur chaque axe. Vivement la carte interface des codeurs.

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De même, avec MatLab, je pilote le rotor EL/AZ du pylône . Comme c’est un rotor de site Yaesu monté sur un gros Yaesu pour AZ, il y a pas de variation de vitesse mais bon c’est pas fait pour faire des mesures au 1/1000. J’ai réalisé le soft qui fait la mise en position de chaque axe à la position désirée et qui permet de faire de la mesure et acquisition du diagramme de rayonnement avec le VNA HP8719C (pour le moment, je ne trace que la valeur de l’amplitude mais je vais rajouter le tracé de la phase car c’est le seul moyen de savoir si on tourne autour du centre de phase de l’antenne). Je peux faire dans le plan site et dans le plan azimut. Il me reste à faire le scénario pour la découpe AZ en fonction de EL, et un peut de traitement (gain,ouverture, lobes sec…).Pour piloter le rotor AZ et EL  j’utilise l’interface au ptotocole GS232 qui est installé dans le tiroir du schack.

 J’ai déjà les amplis moteur pour le « gros  » positionneur AZ/EL Scientific Atlanta. Je vais remplacer les synchros par des codeurs absolus. Je vais utiliser plusieurs cartes F1HEN, une me servira pour le positioneur sur le pylonne EL/AZ, l’autre pour le gros AZ/EL Scientific Atlanta et une troisième pour mon positionneur ELAZ SAT. En attendant il faut que je remontes le positionneur SA. J’ai déjà la partie EL qui est démontée,  j’attends la partie AZ, ça promet, des moteurs courant continu à excitation séparée (110V DC)… La bonne vieille époque hi…

Dans la foulée il faut que je câbles deux convertisseur AD à sortie // pour rentrer sur lacarte de F1HEN qui lira les informations de position des poteEL/AZ  des potentiomètres des rotors Yaesu du pylône.

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J’ai terminé la carte de conversion AD avec deux convertisseurs 16 bits ultra rapide (mieux que 1 conversion complète sur 16 bits parallèle toute les 1 µsec…). Cette carte sera en liaison avec les potentiomètres de recopie de position du positionneur du pylône qui est YAESU EL monté sur un gros YAESU AZ dont j’ai remplacé les potentiomètres de daube par des Bourns hitech.

J’en ai profité pour faire une carte qui me lit ce que reçoit la carte de F1HEN…. Les deux rangées de 16 LED permettent de lire la position binaire absolu arrivant sur la carte F1HEN.

Toutes ce s cartes sont aux format Europe comme celle de F1EHN et montées dans un mini rack en attendant le gros rack avec la partie puissance.

 

 

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10 GHz

Toujours été attiré par les hyper. Je décide donc, de réaliser une station 10 GHz.

En premier la parabole, son support, l’adaptation au trépied. Le plus compliqué a été de réaliser la plaque en alu avec deux coté chanfreinés pour qu’elle soit verrouillés par le système de fixation du pied. Une équerre réalisée en profilé permet la jonction de celle-ci avec la plaque fixée à l’arrière de la parabole (découpée en son centre pour le passage du guide). Puis la récupération d’une alimentation HP en panne (merci F6DPH) que j’ai dépouillé pour ne garder que le coffret qui me sert de base pour y mettre l’hyper (relais guide, le PA, le LNA, le Transverter et l’ocxo 10 MHz en cas de « panne » du GPS). Ce sera ma box 10 GHz. Petit must je vais utiliser un guide souple pour relier l’antenne à la 10 GHz box, j’installes une fixation guide rapide à une extrémité du guide souple pour le connecter à la parabole et l’autre sur la sortie de la 10 GHz box sur la sortie guide sortant du relais en guide WR90.

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 Découpe et positionnement du radiateur recevant le PA 10 GHz.

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Il va falloir ruser pour faire rentrer le radiateur dans le coffret….. Le PA 10 GHz semble tout petit (mais costaud dixit F6CIS)… Je sens que la fraiseuse va être mise à contribution.

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Bon OK, attaquer le radiateur à la disqueuse mais après un peu d’effort ça rentre. Bon maintenant une combine pour le fixer avec le ventilateur qui va bien.

Positionnement des transitions WR90/SMA sur le relais  guide et test de commande du guide. Bien sur il est en 24V à impulsion, et je n’ai que du 12V pour l’alimenter. De plus, la commande en sortie du transverter est un état +12V pour le passage en émission et un 0V pour le passage en réception.

Un merci à F5BQP,  j’utilise un petit buck 12V vers 24V, un convertisseur latching W6PQL.

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OK j’ai du modifié le latching car il était monté en positif et le temps de commutation un peu court car mon switch en guide fait en fait trois fois 30° successifs pour faire les 90° !!!!! Un système Galettes et diodes permet de tourner toujours dans le même sens.

Le câblage est chiant car il y a pas un CI ou un module qui fait les mêmes dimensions. Vives les hyper.

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Bon, j’ai tout (presque) rentré dedans, le radiateur retaillé, le PA 10 GHz dessus, le transverter, le LNA, la carte latching et le convertisseur 12V pour commander le relais guide, il n’est alimenté que pour la commutation de celui-ci. Cela limitera les bruits dus aux alimentations (du moins en réception). J’en ai profité pour tester le RL de la sortie PA en passant par le relais guide (comprenant les adaptateurs guide coaxial) WR90 je suis un peu mieux que 32 dB. On fera avec. J’en profites pour rajouter un OL 10 MHz, un inverseur pour recevoir un 10 MHz externe (GPS), un coupleur pour envoyer le 10 MHz au transverter et à la 817 Box… Heureusement le relais est en 12 Volts.

IMG_1686Bon retour à la parabole. Philipe F6BTP a réalisé une transition WR75 en WR90. Je trouves 32 dB de RL avec la charge étalon HP… Pas mal du tout, voilà qui est de bonne augure. Je la colle à la source de la parabole, je suis à 30 dB. Logique on empile…. J’essaye de connecter le guide avec le raccord rapide rien à faire. La transition côté WR90 est massive. Je lui passe un coup de fraiseuse de chaque côté (du petit côté) et après moult travail et 4 mm de matière retirée. Il est dur l’alu de F8BTP…. c’est OK Je peux relier le guide souple avec sa fixation rapide. Je perces tous les trous à 4.2 mm pour être dans les normes USA.

Bon c’est l’instant de vérité, il faut que je testes la parabole, son feed, la transition WR75 en WR90, le guide souple au VNA pour SAVOIR….

Allez je raccordes le tout, un coup de calibration du VNA, puis tests.

IMG_1687 Bon pratiquement 25 dB de RL, vus les conditions et tout ce qu’il y a devant la parabole…..

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Maintenant faut que je trouves un bornier qui va bien pour l’installer dans la 10 GHz box afin de finir le câblage.

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Bon, ça avance la commande via le FT817/Box se fait bien. Par contre le SEQ2 de DB6NT est trop juste. Il est prévus pour 4/8 ampères et là je consomme 10… F6CIS me fait parvenir un DEQ3. Merci à lui.  Maintenant c’est OK. L’esprit OM existe encore. En attendant je testes le 10 MHz interne ou externe avec sa sélection par relais avec un coupleur 2 voies (MiniCircuit). C’est OK, soit j’utilise l’OCXO interne (Oscillatek 356) soit un 10 MHz externe venant du GPS. Je vais même recâbler la face avant de cette alimentation pour y mettre l’entrée 10 MHz externe (GPS), les prises alimentations ainsi que l’inter de sélection du choix du 10 MHz. Sans oublier la commande PTT venant de la box/817! Pour faire câbles au plus simple je mets la sortie 144 MHz et le 10 MHz qui vont à la Box/817 sur la face arrière.

Comme il y a deux galvanomètres, un va me servir à mesurer le monitoring du transverter, et l’autre de l’ampli final. Ajustement résistances obligent entre la consommation du galva et ce que débite la sortie minotoring.. Tiens dans la foulée je vais mettre des LED indiquant l’état du commutateur guide. Pu… c’est bien de commander sur la baie mais 3 semaines de délai pour 3 embases femelle/femelles SMA à monter sur le face avant. Je suis obligé en attendant de sortir les câbles SMA par les trous de la face avant….

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Quelle galère de vouloir utiliser les galvas d’origine pour visualiser les tensions monitoring de l’ampli 1 Watt et du « 10W ». Je mets «  » car il devrait sortir 10 W mais n’en sort que 5…

Bon j’ai reçus mes prises je vais en profiter pour finir.

Et voila !! La box/817 terminée et connectée à la box/10 GHz. Le voyant vert indique bien que le commutateur guide WR90 est bien en position RX et quand j’appuie sur la pédale du micro…

Miracle la verte s’éteint, la rouge s’allume et je monitoring mes PA…

Demain sera un autre jour faut je relie à la parabole et fasse le support qui va bien. Encore une journée pour de la mécanique…

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Bon, j’ai relié la parabole, envoyé du jus via le VNA et une parabole, la box/817 va bien et le PC me donne bien la raie spectrale……

J’ai via la 817/box envoyé du jus, ça va la raie spectrale sur l’analyseur de spectre HP 8563E est cool. Faux que je me mettes au boulot pour faire un montage supportant la box/10GHz et la box/817 car en portable je n’aurai pas de table à roulette. Et, il faut qu’il soit démontable pour que la parabole et son support rentre dans la voiture… En plus faut que je potasses les mesures de ciel/sol. Jamais fait et pour moi c’est comme le temps ici assez dans le brouillard.

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Pour le support, Jai trouvé une combine… Un cadre amovible permet de supporter la Box/817 et la Box/10GHz. Des équerres et des pieds (fait avec des colonnettes les pieds…) évitent que la Box/10 GHz sorte du berceau.

Bon test et j’emmènes tout dehors. Par la fenêtre je demande au synthé d’envoyer via une parabole de 40 cm du 10.368 GHz. J’installes le tout et miracle des hyper j’ai bien une porteuse en 144 MHz. Pour le fun un bout de fil sur une N reliée au HP 8563E me montre que quand je passe en émission je suis OK. Me reste à régler le problème d’alimentation.. Une alimentation à découpage sur le bord de la route en pleine campagne ça va pas le faire…

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LE SCHACK

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J’utilise un transceiver ICOM IC-706 MKIIG presque toutes bandes et tout modes. Entièrement piloté par le PC. Pour des soucis de compatibilité avec des anciens logiciels, je suis resté en win7 32 bits (gestion du port parallèle pour commuter les antennes assurée).

J’utilise principalement un logiciel (HRD) avec 4 écrans de visualisation pour les différents modes de travail ainsi que les différents paramètres de la station. Je ne ferai pas la liste des autres logicels (WJT, SDR…).

J’utilise aussi des logiciels comme HFSS (très compliqué), Matlab (ça c’est un logiciel…), HPVEE très pratique pour tester rapidement un interface..

Je passes beaucoup de temps à regarder plusieurs langages en même temps C pour Arduino Python pour comprendre la programmation et Matlab qui je crois va me servir pour tout.

HRD me permet ainsi en fonction des bandes de gérer via le port parallèle des relais RF aussi bien près du transceiver que en haut du pylône (relais plus LNA derrière les antennes 144 et 432).

Je minimise le nombre des coax venant du pylône à la station (je n’en ai que deux en fait, un pour les bandes hautes et l’autre pour les bandes basses).

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Un tiroir commande (fabrication perso) piloté par le port parallèle du PC drive les commandes de relais pour les antennes situées sur le pylône, les relais recevant les informations des différentes antennes sur les connecteurs RF du transceiver.

J’utilise en fait les 4 premiers bit pour les relais dans le schack et les 4 suivants pour les relais au pylône.

Une logique permet à deux rotacteurs de travailler en mode automatique (une led rouge me prévient), là c’est le pc qui envoie en fonctions des fréquences le (les) relais à actionner et des leds vertes me disent lesquelles. Je peux bien sur passer en mode manuel et c’est moi qui pilote les relais antennes. (perso je préfère le mode automatique ça m’évite de faire comme une fois en modes sat de passer en émission en 432 sur l’antenne et son LNA 144 car j’étais resté en mode manuel. Heureusement Yannick de l’Electrolab a pu me le réparer car je suis pas encore équipé pour du CMS.

Ce tiroir permet aussi de gérer les deux rotors AZ/EL du pylône. J’utilise un interface au protocole GS232 qui a un affichage de la position AZ et EL, des boutons CW/ CCW, UP/DOWN en face avant. Les rotors sont ainsi pilotés soit par le PC (en RS232C) , soit par la commande et recopie en face avant du tiroir de commande, soit au pied du pylône.

IMG_1551Petite place à coté de la station pour la soudure, la loupe éclairante et une alimentation.

Là il y a la box/817 pour la future station portable (avec un PC portable, vérifié avec le sdr et pilotage du 817 dans la box/817 pour la future box 10 GHz portable).

 

 

IMG_0435Les antennes VHF, UHF et SHF sont installées sur un pylone avec chariot motorisé pour sa descente/montée et son basculement possède un rotor Azimuth et Elévation.

Un montage en H permet de recevoir les antennes, la 144, la 432 et en tête de mât une discone large bande.

Ce sont toutes sont des yagis, sauf la discone large bande omni (150 à 2500 ) pour de l’écoute.

Pour les bandes basses, une W3HH est installée entre le pylone et un arbre sur le terrain, elle est large bande (1à 30 MHz) avec un TOS très acceptable, à peu près omni mais de rendement moyen. Sont balun 1200/50 d’adaptation et sa résistance de charge acceptent 1 KW.

 

 

 

 

 

schemas implantation1 implantation2 trame commande easycom affichage avant GPS affichage après GPS1 affichage après GPS2 IMG_1355Développer par Fabien F4CTZ. Il permet à partir de données GPS venant d’un Thunderbolt (ou autre générant la trame NEMA standard) de connaitre ses coordonnées en Lat et Long ainsi que en Locator. Donne al position SUN et  MOON pour pilotage au protocole RS232C

IMG_1242FT-817_Panadaptor_board   transformation du 817 avec ajout du filtre pour le 68.33 MHz

FT817_External_Reference transformation du 817 avec ajout de 10 MHz de référence (interne et externe via GPS

 

 

 

 

 

 

 

on voit que le nouveau module Ref est pas beaucoup plus gros que l’ancien, en plus il se monte pil poil à la place de l’ancien.

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Pour câbler la sortie FI 817, là il faut la pointe de fer très fine, la soudure très fine et ne pas trembler. Un goutte de soudure sur les pistes et cms et alors là c’est l’enfer.

Le module tient avec de l’adhésif double face sur l’équerre derrière la face avant du 817…

On perce la face arrière pour y mettre les prises SMA, une pour le 10 MHz et l’autre pour la sortie FI (68.33).

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Après avoir glisser le 817 à l’intérieur de la box, mise en place de l’atténuateur pour le SDR et petit câble RJ45 allant de la prise micro en face avant de la box à la prise micro du 817.

Le plus dur est d’usiner la face avant de la box pour mettre une prise RJ45 en face avant pour le micro du 817. Par contre de l’autre coté à l’intérieur du box, un bout de câble RJ45 avec sa prise dans le 817 (à la place du câble micro d’origine)

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On prépare la face arrière, avec la prise USB du SDR, la prise CDE par mise à la masse du transverter, la prise 10 MHz, la prise antenne, la prise RS232 pour pilotage du 817 via le PC, les deux prises alimentations, les deux prise IN et OUT audio pour du mode digital.

On voit bien le petit bout de câble jaune pour la liaison micro entre le 817 et la ce avant de la box.

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Je suis étonné d’avoir pu tout faire rentrer à l’intérieur, le 817, l’atténuateur, les deux relais en sma et le dongle SDR.

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je suis content (faut bien s’envoyer des fleurs), sur la face avant on a bien toutes les touches du 817 accessible, le micro se connecte bien, l’atténuateur va bien et j’ai mes deux inverseurs permettant au SDR de recevoir soit la FI du 817 soit l’antenne.

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J’ai commencé par installer une motorisation avec un treuil électrique de la montée/descente du chariot du pylone.

Quand on fait souvent des mises au point sur les antennes, les relais, les préamplis, le câblage… Très pratique. Afin de multiplier par deux le couple de levage de cette motorisation j’ai utilisé la technique du mouflage. Bien veiller à changer le câble et d’utilser les poulies de capacitées suffisantes

La télécommande permet une montée/descente aisée pour un prix modeste si on ne veut pas utiliser un treuil de capacité de levage important.

C’est pour moi un élément indispensable. Lors des grands vents, c’est rapide donc on hésite pas.

 

Un autre  treuil électrique permet après désaccouplement de la fixation haute du chariot de basculer celui-ci sur sa fixation basse pour une manipulation près du sol sur les antennes, relais, préampli et câblage.

 

J’utilise le treuil de basculement du chariot afin de faire pencher le chariot et le mat de support antenne près du sol.

Un petit boitier de control avec switch AV/AR et UP/DOWN permet de faire basculer les antennes à l’horizontale (avec la commande déportée de AZ et EL) pour les  mises au point et autres bidouilles.

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Coffret maison dans l’abris de jardin avec une commande locale pour l’azimuth et l’élévation. Ce coffret est piloté à partir de la station mais utilisée aussi en local au pied du pylône. Bien pratique pour intervenir sur les aériens.

J’utilise le treuil de basculement du chariot afin de faire pencher le chariot et le mat de support antenne près du sol.

Un petit boitier de control avec switch AV/AR et UP/DOWN permet de faire basculer les antennes à l’horizontale pour les mises au point et autres bidouilles.

LE MAT

Mat carré 12 mètres de haut en section de 1 mètre avec chariot télescopique et basculant

La montée et descente du chariot est motorisée.

Le basculement de celui-ci quand il est au sol aussi.

Deux treuils assurent cette fonction

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LE LABO

Tout radioamateur, se doit d’avoir un minimum d’équipements afin de tester et mettre au point ses réalisations ou par plaisir. Pour moi c’est peut être plus par plaisir.

Ayant eut la « chance » d’acheter pour un prix peu élevé du matériel de mesure pas forcement en ordre de fonctionnement, je me suis lancé dans le dépannage, je suis suis resté fidèle à HP des années 80/90 car c’est encore une technologie abordable avec des documentations complètes (merci le web) et des composants disponibles sur le net.

Je suis en train de relier tout cela en HPIB avec un adaptateur HPIB/USB avec l’espoir de travailler (un jour) sur la programmation de ces appareils. J’ai un peu utilise HP VEE, c’est un petit début. Je voudrais utiliser Labview… Ce.la me semble du fait de mes compétences informatiques compliqué. Mettre « un peu » au propre le raccordement des différents équipements. A suivre….

Le labo d’avant: 8566, 5343A, 8753C, le scope 54110D, le plotter 7470A, et la reference GPS (encastrée dans un vieux tiroir de multimètrte HP) le power meter 438A

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Pour des questions de place (il faut ranger un peu de temps en temps…), j’ai rappatrié tous le matériel de mesure sur le plan de travail à côté de la station

La table à roulettes me servira a amener à proximité e qu’il y aura à tester.

Après moult instrument (8510C, 8753A et 8753C, 8752A, 8568B, 8566B et j’en passes j’ai réduits le matériel).

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J’ai gardé le VNA HP 8719C, le HP8633E, le compteur HP5343A, j’ai toujours mon boitier GPS de multimètre HP3477A (avec à l’intérieur le GPS Thunderbolt et la distribution du 10 MHz aux différents équipements), le voltmètre HP3456A, une alimentation HP6632A, pour déroger à la règle un scope Hantek qui est en rapport qualité prix encombrement imbattable.

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Je repasse en support mobile de matériel à roulette car sur le bureau j’ai jamais assez de place pour les guides, les coaxiaux… Bref là, j’amènes ou j’ai besoin, comme le caisson de « cuisine » squatté et mis aussi sur roulette. J’ai juste le Câble secteur et celui de l’USB (qui relie tous les équipements au PC) qui trainent.